ATELIER Création Tambour Chamanique
Octobre 2024 - Prat (22) - Atelier de 3 jours animé par Maïa et Guillaume Carré : « Au Cœur des Énergies » - www.aucoeurdesenergies.fr
Journal de bord / 3.6 - Stagiaire
Pour rappel. Le présent document est un compte rendu de stage, d'expérience. Il est MA vision, de comment j'ai vécu les choses. Ce sont MES jugements et interprétations, MES prises de consciences, MES doutes, MON questionnement. Les notions que je partage représentent ce que j'ai compris. C'est le témoignage d'un apprentissage, d’un parcours, d'un vécu et d'une évolution.
INTRO > Nous aimons, ma compagne et moi, vivre ensemble des stages, des ateliers, des laboratoires... Nous projetons également de co-animer.
- Nous avons pu expérimenté le tantra, la méthode Imago, le circle song et le chant spontané, les rêves lucides...
> En recherchant quel serait notre prochaine expérience, j’ai fouillé du côté Chamanisme, territoire qui m'a toujours attiré sans jamais l’avoir réellement exploré. - J’ai bien participé à un stage théâtral sur les amérindiens dans les années 90, dont il ne me reste pas grand chose, à part le souvenir d’une expérience marquante où lors d’un travail sur la composition de personnage, j'avais pu m'enterrer, puis vécu une sorte de renaissance. - J'ai beaucoup lu également d'ouvrages historiques sur la colonisation de l’Amérique et le génocide amérindien et j’ai aussi dévoré les ouvrages de Carlos Castaneda relatant les enseignements chamaniques du sorcier yaqui Don Jan.
> Lors de ma recherche internet, je suis arrivé sur « Au Coeur des Énergies », le site de Maïa et Guillaume : www.aucoeurdesenergies.fr. - Maïa travaille avec les énergies, elle est guérisseuse, accoucheuse de tambours et d’objets chamaniques; elle est formée à plusieurs pratiques holistiques. - Guillaume est géobiologue et il accompagne Maïa dans le processus de création de tambour.
L’INVISIBLE
> C’est quoi pour moi l’invisible ?
- Ce n'est pas un sujet sur lequel je suis très clair.
> Je n’ai jamais été particulièrement connecté avec le monde des vivants et celui des morts, les esprits et autres créatures fantastiques, le monde parallèle, le prince de dimensions multiples, les énergies, les canaux, les fréquences, etc.... A la base, je me défini comme un absolu non croyant !
- Jusqu’en 2023, où j’ai participé à un stage de communication non violente sur la thématique des croyances limitantes, croire à quelque chose, pour moi, était synonyme d’esclavage et de fléau de l’humanité. Une manière de voir qui s’est depuis adoucie, à présent que j’ai les moyens d'entendre qu’une croyance peut être parfois soutenante.
> La seule expérience que j’ai avec l'invisible, s’exprime à travers mes années de pratiques dans la création artistique ou le constat d’une connexion avec je ne sais quoi, qui a fait que j’ai énormément produit de créations. Certes, j’avais des choses à dire, je ne savais comment les dires autrement, mais il y avait aussi autre chose, quelque chose comme « je me sens à ma place, je suis fais pour ça ... ?"
- L'invisible fut palpable aussi pour moi, dans mon expérience du théâtre, par exemple dans ce qui se passe entre deux personnes qui jouent ensemble la comédie, la notion d'énergie était souvent évoquée, explorée.
> Dans le domaine artistique en général, que ce soit en créant ou en me nourrissant d’ouvres d’art et dans les relations, j’ai fais généreusement l'expérience de l’émotion, des sensations physiques, des sentiments. J’appelle cela aussi de l’invisible, cette connexion à se qui se passe au fond de nous et ce que nous en percevons. Mes yeux ne voit pas cette chaleur qui remplit mon ventre lorsque je suis amoureux, pourtant je la sens, je peux la décrire précisément et je vis de la joie jusqu'au bout de mes doigts; ce n’est pas matériel, c’est invisible pour le monde matériel.
> Le principe d’invisible se concrétise un peu plus, depuis que j’ai commencé à explorer différentes pratiques du développement de la personne.
- Par exemple avec la méditation, la plein conscience, le centrage et par exemple dans le processus d’auto-empathie CNV où on est invité à prendre le temps d’observer ce qui se passe en nous, l’invisible commence à prendre corps.
- L’expérience également de poser des intentions, par rapport à ce que je souhaite ou ne souhaite pas de vivre, m’aide à me connecter aussi à des choses comme l’intuition, en tout cas à ouvrir le champ de la perception.
- J’ai choisis de faire cet atelier de création de tambour chamanique, en posant naturellement des intentions sur ce que je viendrai faire ici, pourquoi, comment.... Je remarque que certaines intentions que je liste plus bas, parlent de l’invisible.
PRÉPARATION AVANT LE STAGE
> Nous avons reçu un mail quelques jours avant le stage, avec les infos pratiques et des recommandations pour nous préparer à cet événement particulier. 1°) Intentions > J’ai écris mes intentions, mes attentes, mon projet « création de tambour chamanique », deux jours avant le stage. NAISSANCE DE MON TAMBOUR SIGNIFICATIONS - Créer symboliquement un allié pouvant :
> M’accompagner et me soutenir : notamment pour arrêter de fumer !
> M’aider à accompagner et soutenir d’autres personnes
BESOINS
- Courage, force, puissance
- Conscience, intégrité, persévérance
- Fluidité, sérénité, paix
- Ancrage, stabilité, clarté, solidité, santé
INTENTIONS
- Bienveillance, amour
- Accueil, sagesse, évolution, transformation
- Partage, collaboration, coopération, co-construction
- Équilibre, harmonie, sens
- Jouer, ludique, joie
STRATÉGIES
- Faire chanter mon tambour :
> Transe, fête, célébration, communion, musique, paroxysme, création solo ou en cercle
> Méditation, poser des intentions, demander du soutien
> Ouvrir et clôturer : Moments dans la vie, dans les stages, ...
> Vivre le corps : Postures, danse, sexualité
- Faire voyager mon tambour et qu’il me, nous, fasse voyager
ÉNERGIES
- Feu, dynamisme, action, mouvement, intensité
- Créativité, jeu, joie
- Excitation, sensualité, désir, gourmandise, plaisir, jouissance, extase
- Jour, chaleur
! ! ! Et aussi, à la fois ! ! !
- Calme, douceur, lenteur, profondeur
- Nuit, repos
COMMENT JE L’IMAGINE
- Gros, grand, imposant
- Singulier, original
- Beau, pur, brut
- Fin, élégant
- Avec un son très basse, mais pas sourd, fort en volume et vibrant longtemps
2°) Matériel
> J’ai commencé ensuite à préparer mon matériel.
- Je suis allé notamment au potager, plus particulièrement dans mon carré de plantes médicinales et aromatiques, pour y prélever des feuilles, des fleurs que j’ajouterai à l’eau dans laquelle la peau de mon futur tambour, baignera pendant plusieurs heures.
- J’ai cueillis des plantes comme ça venait, en écoutant celles qui m’attiraient, « m’appelaient » et en cueillant aussi celles que j’affectionne particulièrement. Et j’ai fais ensuite des recherches pour en appendre plus sur la symbolique de chacune de ces plantes. Et j’ai été frappé et émerveillé par la correspondance entre ce choix intuitif de plantes, leurs attributs et mes intentions. Ici par exemple, je peux dire que je vis déjà à ce stade, une expérience de l’invisible.
MA RECETTE DE JUS DE PEAU
+ Verveine citronnée
- Pureté, grâce, beauté
- Courage
- Paix, abondance
- Garder l’amour près de soi > Réduit nervosité, angoisse, stress, dépression + Thym citronné - Courage, force, bravoure
> Réduit Grippe, fatigue, toux > Améliore Respiration
+ Coriandre
- Courage, feu de l’action
- Désire, luxure, amour, prolonge la durée du moment intime
- Divination, communion spirituelle
- Détox métaux lourds
+ Sauge
- Purification pensées, lieux, corps, objets, nettoie énergie négative, éloigne mauvais esprit
- Guérison
- Sagesse, immortalité (tradition celtique)
- Porte bonheur, augmentation de la conscience
- Clarté
> Utilisée par les amérindiens
+ Cosmos
- Mon fils : Cosme
- Ordre, harmonie, paix intérieure, équilibre, sérénité, calme
- Modestie
- Innocence, fidélité, pureté, amour éternel
+ Bleuet
- Délicatesse, raffinement
- Profondeur, idéalisme, loyauté, sincérité, sagesse, stabilité
- Tranquillité, contemplation, paix
- Confiance
- Messager de tous les sentiments
- Fleur nationale Allemagne : Ma grand mère Mémère Rosie
+ Basilic
- Abondance, prospérité, chance, fortune
- Purification énergétique
- Relaxation, apaisement du mental
- Immunité
- Énergie positive
- Chakra du cœur
+ Lavande
- Chance, stabilité émotionnelle, paix, amour, pureté
- Purification, guérison, régénération, protection
- Vision, magie
- Fraîcheur, silence, clame
+ Rose
- Tendresse, amitié, amour pur, joie, innocence, dynamisme
> Blanche : sincérité, bienveillance, paix, élégance
> Jaune : amitiés sincères, soutien, renaissance, joie
- Ma grand mère Mémère Rosie
+ Menthe
- Sagesse, courage
- Guérison, purification
- Actions bienfaisantes
- Immunité
- Hospitalité
+ Pavot
- Fertilité, fécondité, abondance
- Bonne activité cardiaque
- Résolution pacifiante des conflits
- Recherche harmonie, compréhension
- Royaume de l’au-delà
+ Eau de Cologne
- Fraîcheur
- Légèreté
- Ma grand mère Mémère Rosie
+ Gaulthérie
> Réduit perception de la douleur
- Guérison, protection
- Dissipe ensorcellement, malédiction
- Attire esprit positif
+ Galet avec visage de Dark Vador peint par mon fils Cosme
- Mon fils Cosme
- La créativité
- La complicité
- Le personnage de Dark Vador, chevalier Jedi en conflit entre ses sentiments amoureux pour une reine et les préceptes de son ordre Jedi qui demandent de n’avoir aucune attache, aucune relation.
- Ne pas redouter d’éprouver mes parts plus sombres, avoir la curiosité de ce que mes gouffres peuvent m’enseigner sur moi-même, mon histoire et sur ce qui est important pour moi de vivre !
DÉROULÉ
> Les trois jours se sont articulés entre des temps d’expression, de partage, de dialogue, d’exploration, de perception, des rituels, des temps de chants vocaux et de tambours, une activité manuelle, artisanale et plastique. + Au commencement > Le stage commence en douceur et pour moi c’est déjà profond. - On échange sur qui nous sommes, d’où nous venons, ce qu’on a envie de vivre pendant ces trois jours, quelles sont nos intentions, que vient-on chercher ici... - J’ai beaucoup apprécier ce moment, c’était important pour moi de poser tout cela devant témoin. - J’ai aimé également le fait que ce soit, à la fois un temps pour poser des intentions parfois « spirituelles », mais aussi que les animateurices s’intéressent à comment nous imaginons notre tambour du point de vue sonore, quant à sa taille, son esthétique, etc... - C’était un parfait mélange entre justement l’invisible et le matériel, le concret. Cette couleur fut une constante dans l’accompagnement de Maïa et Guillaume pendant ces trois et cela m’a apporté de la stabilité, de l’ouverture : je me suis senti à l’aise pour vivre mon invisible les deux pieds bien ancrés dans le sol ! + Le cadre du tambour
> Prendre le temps de choisir le cadre de son tambour.
- Dans la pièce des rituels, nous fermons les yeux et nous nous imprégnons du chant des animateurices et du son de leurs tambours.
- Plusieurs cadres de bois différents sont disposés dans l’espace.
- Les yeux fermés, j’essaie de sentir, je ne sais quoi, plutôt j’essais de m’ouvrir à une perception où l’invisible pourrait s’exprimer. Cela me fait penser à une expérience de prise de champignons hallucinogènes, où j’essayais de lâcher prise et me laisser emporter dans les visions graphiques qui allaient et venaient lorsque je fermais les yeux.
Je sens vaguement et inexplicablement des zones dans la pièce qui, je pourrais dire, m’appellent.
- Puis, toujours les yeux fermés, je me lève, je place mon avant bras sur mes yeux pour qu’il fasse encore plus noir, je balaye l’espace devant moi en faisant une lente rotation de gauche à droite... Je vois du noir, du noir, du noir; puis à un moment, alors que je suis complètement tourné vers la droite, je vois dans le noir comme un tunnel, un vortex qui s’ouvre, encore plus noir que le noir autour, genre suprême noir, méga basse, je m’arrête aussitôt, je reste face à cette direction et pointe avec mon doigt le futur cadre de mon tambour, sans le voir : du bois de mûrier.
- Avant d’ouvrir les yeux, je passe un moment avec ce cadre entre les bras, je le touche, me vient des mots comme aube/crépuscule, transformation, accompagner, allié.
- J’ai également la vision d’un animal, genre une biche, un chevreuil qui passe dans la forêt et je me dis que c’est peut-être une info pour le choix de la peau de mon tambour.
+ La peau du tambour
> Une fois le bois, choisi, c’est au tour de la peau.
- La peau est choisie selon le même principe qui consiste à sentir et suivre là où ça nous appelle. A l’extérieur sont disposées dans l’herbe, de manière circulaire, plusieurs peaux .
- Les yeux fermés ici aussi, je suis placé au milieu du cercle de peau.
- Un endroit m’attire pour sa chaleur occasionnée par le soleil qui brille de face et que je sens sur mon visage. Cela me donne comme envie de suivre ce plaisir de la chaleur sur mon visage.
- Un autre endroit m’attire pour une odeur douce et sucrée que je perçois. J’interprète cette direction comme quelque chose ayant un rapport à la gourmandise, le raffiné, ...
- Un troisième endroit m’attire, dirigé vers la source sonore d’un bouc qui cause et qui m’amuse. Je sens comme de l’humour dans cette direction.
- Je passe ensuite, les yeux toujours fermés, par une étape de prise de contact via le toucher des différentes peaux correspondantes aux trois directions qui ont attiré mon attention.
- Pour finir, je peux à présent ouvrir les yeux pour regarder l’ensemble des peaux. J’en arrive à m’arrêter sur encore une autre peau, dans une autre direction, pas tout à fait celle vers le chant du bouc, mais pas loin. Je prends en compte aussi à ce stade, le choix d’une peau par rapport à mon souhait de fabriquer un tambour avec beaucoup de basse !
- Je ramène la peau que j’ai choisis dans la salle de rituel pour passer un peu de temps avec elle, comme je l’avais fait avec le cadre en bois de mûrier précédemment. Les yeux fermés, m’apparaît la vision d’un symbole.
Je le dessine dans mon carnet aussitôt pour m’en souvenir. Ce qui me vient quand je regarde mon dessin, c’est une sorte de point d’interrogation et ça me va comme symbolique = poser la question, être curieux de..., interroger, vérifier, ...
- Je mets de côté ce symbole qui me servira peut-être à un moment donné dans la création plastique de mon tambour...
- J’apprends que la peau que j’ai choisie est du bison. En allant rechercher des infos sur la symbolique du bison, je vois encore ici beaucoup de correspondance avec mes intentions de départ et je lui découvre notamment une symbolique de guérison au sujet des addictions (ça colle pile avec mon souhait de me libérer du tabac !)
> La peau à ce stade est sèche. Pour pouvoir la tendre sur le cadre en bois, il va falloir qu’elle soit mouillée pour être suffisamment souple et étirable. Ce sera donc la prochaine étape.
- Je plonge ma peau dans un bac d’eau, à laquelle j’ajoute les plantes que j’ai cueillis au potager à cet effet. Lorsque j’ajoute mes plantes, je prends le temps de relire leur symbolique et de poser mes intentions en les ajoutant dans l’eau du bac.
- Une fois les peaux totalement redevenues souples, un rituel incroyable est proposé : Mais ça c’est surprise ! A la demande de Maïa et Guillaume, je n’en donne pas ici le détail, pour préserver la fraîcheur de la découverte pour d’éventuels futurs stagiaires...
+ Assemblage et mise en tension du tambour
> Nous passons ensuite à l’aspect plus artisanal, avec pas mal d’actions manuelles.
- Je ponce le cadre en bois de mon tambour et le nourris ensuite d’huile de lin.
- Je gratte et ponce la peau pour la dégraisser et retirer les reliefs qui en séchant, pourraient dénaturer le son du tambour avec des vibrations parasites.
- Je perce des trous tout autour de la peau, avec un burin métallique, à travers lesquels passera plus tard le cordage pour tendre la peau.
- Je choisis la couleur de mon cordage et le passe à travers l’ensemble des trous de la peau et autour d’un cercle de métal au centre du tambour. Une fois ce long travail de tressage, vient le moment de mettre en tension le cordage, ce qui se fait aussi petit à petit tout autour du tambour.
- Pendant cette phase de tressage, je glisse sous la peaux, tout autour du tambour, des mots que j’ai écris sur du beau papier et qui correspondent à mes intentions ou besoins principaux : « Courage, force, conscience, paix, santé »
- Avec un autre cordage, toujours sur le principe du tressage, à l’intérieur du tambour, je compose ce qui va à la fois, servir de poignée par laquelle je tiendrai mon tambour et servira à finir de tendre la peau sur le cadre en bois.
+ La mailloche
> Ceci fait, reste à fabriquer la mailloche du tambour. Ici aussi, il est proposé une part de perception, de ressenti et une part de travail manuel et plastique.
- Nous sommes partis en ballade en forêt et en chemin nous avons choisis des branches, tombées au sol, dont nous nous servirons pour fabriquer la mailloche.
- J’ai très vite trouvé une branche qui « m’appelait » (ici aussi, je ne réfléchis pas, je laisse de côté le mental, pour juste suivre ce que je sens, que je me l’explique ou pas).
- Sur le chemin du retour je commence, avec un couteau bien affûté, à tailler le manche de ma mailloche... Plus tard je l’ai sculpté en y ajoutant notamment le symbole en point d’interrogation que j’avais vu en vision précédemment.
- Pour finir cette mailloche, je fabrique avec des pièces de tissus et du fil à coudre, la tête de tambour que je fixe ensuite solidement au manche.
>>> Et voici mon tambour né en sa matière. Il est temps à présent, de faire naître sa voix et qu’il puisse commencer à s’exprimer et s’incarner.
+ Présentation, célébration et communion
> Nous finissons par deux derniers rituels, où nous faisons chanter pour la première fois nos tambours, où nous nous les présentons mutuellement et où tous les tambours créés pendant ces trois jours peuvent enfin jouer tous ensemble.
- Pour mémo, le premier rythme que j’ai joué sur mon tambour est la phrase musicale associée aux apparitions de Dark Vador dans StarWars et que tous les fans connaissent bien.
CONCLUSIONS
Conclusions sur l’invisible
> Où j’en suis avec l’invisible ? Je n’ai pas basculé dans une croyance de l’invisible.
- Pour moi l’invisible, n’est pas fantastique, c’est plus quelque chose que je ne connais pas, que je n’ai pas les moyens de comprendre, ...
- Je peux vivre de l’invisible à travers ce que je ressens, je perçois, les émotions, les sentiments, à travers mes jugements, mes interprétations et aussi à travers mes aspirations, mes intentions. J’ai l’impression d’être constamment relié à l’invisible en fait, dès lors que j’imagine, j’interprète, j’éprouve, je me relie, je me connecte, je m’aligne.
- Le contact avec les animaux est un bon exemple aussi pour moi de ce que je peux appeler une expérience de l’invisible.
- La méditation, la pleine conscience, le centrage, l’auto-empathie, le mouvement corporel sont des outils à travers lesquels je pense avoir accès à une certaine forme de l’invisible
Conclusions sur l’atelier
> Super atelier, très complet ! J’ai beaucoup apprécié le subtil mélange entre l’expérience sensorielle, le rituel, l’artisanat, la création artistique, la célébration des chants et des tambours, la connexion avec la nature et les animaux.
- J’ai pu vivre des émotions, j’ai appris beaucoup de choses d’un point de vue artisanal, je suis très ému d’avoir fabriqué un instrument de musique et d’avoir ramené cet allié à la maison.
Conclusions sur les animateurices > Très belle expérience avec les animateurices, que j’ai vécu comme des gens simples, accessibles, présents, disponibles, encadrants et sécurisants.
- J’ai apprécié aussi que les animateurices fabriquent elleseux-même des tambours avec nous pendant ces trois jours. C’était très modélisant pour moi de voir faire et d’avancer ensemble !
- Pour résumé, l’expérience, la pédagogie et l’humanité des animateurices m'ont vraiment permis de vivre ce processus en totale confiance, ouverture et liberté.
- Et aussi je me suis régalé de la cuisine proposée midi et soir !
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